Jour 5 : quatre joues, hein ?
Ces notes ont suffisamment développé l’apport calorique de ce séjour pour que les parents ne s’étonnent pas que le visage des élèves ait doublé de volume.
Petit dej au croissant et encore au beurre doux (une main courante a été déposée dénonçant un tel crime) ce matin sur une aire d’autoroute qui nous attendait à 7h30 quand nous y arrivâmes deux heures plus tôt… Accueil formidable de gens qui s’adaptent et nous reçoivent une heure plus tard… le temps pour nous de baigner dans un court moment de sommeil en plus et dans la douce ambiance de nos sueurs et nos miasmes mêlés : il faut qu’on rencontre une salle de bains avant nos proches pour ne pas vivre une solitude éternelle.
Ne croyez pas la légende qui raconte le bris d’un verre par un prof au flunch hier soir, ni celle d’une élève dansant dans le même restaurant avec des enfants plus jeunes, ni enfin cette légende urbaine qui prétend que le casseur de verre aurait ronflé dans le car.
« Quand la légende est plus belle que la réalité, imprimez la légende »
On a fini par arriver et une formidable élève de terminale est allée distribuer les vestiges en fruits et chips de notre dernier pique-nique aux personnes nécessiteuses. Gloire à Jade, donc.
Bilan du voyage : beaucoup de graisse mais pas assez de Grèce : et si on corrigeait ça l’an prochain ?